Le journal à partir duquel sont tirés les témoignages de Rachid Kacem s’inscrit dans une démarche légitime de recherche de la vérité historique que certains hagiographes ont voulu sciemment dévoyer le sens et la portée. Coïncidant avec la période de tergiversations sociopolitiques postrévolutionnaires que vit actuellement la Tunisie martyre, Devoir de mémoire tombe à point nommé pour apporter une précieuse contribution à la réécriture de cette période de son histoire dans l’espoir que les citoyennes et citoyens tunisiens d’aujourd’hui puissent tirer une grande fierté de leur histoire commune, des sacrifices consentis par leurs ascendants et de l’exemplarité des rapports d’entraide et de complicité qui existaient entre toutes les régions du pays
En tant qu’intellectuel, patriote et témoin de son temps, Rachid Kacem présente son pays comme victime d’un régime dictatorial dans un gant de velours, dévoyé par une clique gouvernante complice et servile. Une clique dont chaque membre, après avoir été au summum de sa gloire, dut, un jour, mordre la poussière et être voué aux gémonies pour le bon plaisir de son maître qui a continué à régner en conquérant tout-puissant malgré ses maladies successives, la débâcle de Bizerte, les exécutions sommaires dont celle de Ben Youssef, le coup d’État manqué de fin 1962, ses frictions avec de Gaulle, le FLN, Nasser, et les autres, le revers de sa politique agraire de 1969 et la révolte populaire de 1978 ! Chroniques des années obscures.
Jérusalem dans le Coran est un grand livre qui m’a ému et régalé de plusieurs manières. Je suis surpris qu’un livre aussi méticuleusement documenté ait eu à attendre aussi longtemps avant de voir le jour. Plus d’un siècle s’est déroulé depuis que les Sionistes ont commencé leur épouvantable oppression et leur nettoyage ethnique du peuple Palestinien dont le seul tort était de vivre dans un pays considéré par les Juifs comme étant leur « Terre Sainte Promise ».
Retour sur deux siècles d’histoire de la dynastie husseinite, la mal-aimée de la République, mais qui a réussi à perdurer dans le temps et à faire face à tout genre d’expansionnisme des puissants pays et empires étrangers…
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Rares sont ceux qui écrivent sur la vérité de la monnaie et des Finances. Marc Gabriel Draghi, non seulement l’a fait mais en plus a retracé l’histoire de la monnaie depuis l’antiquité jusqu’à nos jours. Apparentant la Finance à un jeu de Monopoly, l’auteur dévoile les secrets les plus lourds qui, longtemps cachés ont permis aux plus riches de s’enrichir davantage et aux plus pauvres de disparaître. Ce livre inédit a permis de propulser l’auteur au rang des grands conférenciers et spécialistes du domaine.
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RÉVOLTE ! Essai sur la légitimité et la planification de l’insurrection populaire en France Pour l’auteur, la vraie révolution “c’est le moment précis où, dans un contexte de crise politique interne majeure, l’armée retire son allégeance à un chef d’État et son gouvernement pour reconnaître la légitimité du commandement d’une nouvelle autorité civile”…
ce livre peut vous sauver la vie. Les problèmes auxquels le monde doit faire face dans les 10 prochaines années sont considérables : surpopulation, pénurie de pétrole et de matières premières, dérèglements climatiques, baisse de la production de nourriture, tarissement de l eau potable, mondialisation débridée, dettes colossales…
L’humanité est entraînée dans un chaos sociétal orchestré par le Nouvel ordre mondial. Les régimes de partis occidentaux en sont comptables : pire, ils en sont la caution.
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L’auteur, universitaire, s’appuie sur un dispositif érudit de sources et références, mais il ne nous livre pas ici la monographie d’un couple historique. Il ne cherche pas non plus à répondre aux règles strictes de la biographie de Wassila. À l’opposé, il ne nous propose pas davantage un roman historique, une banale romance qui noierait le lecteur dans une délirante fiction : à force de dialogues ahurissants, d’anecdotes signifiantes, de scènes hautes en couleur et de monologues intérieurs qui interrogent, il nous régale d’une passionnante « biographie romanesque » dont les faits sont avérés.
L’historien n’est ni habilité à fouiller dans l’inconscient des hommes politiques ni à traquer leurs blessures narcissiques, mais il est fort à parier que de telles considérations ne sont pas absentes du harcèlement que Mohamed Attya, premier agrégé d’arabe et premier directeur tunisien du prestigieux collège Sadiki, dut subir de la part de son ancien ami et camarade de classe Bourguiba. Pourtant, la Tunisie combattante d’avant-l’Indépendance doit à Mohamed Attya la renaissance du collège Sadiki, son développement qualitatif et quantitatif, ainsi que la fondation du lycée Khaznadar.
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