In silico – La cité des abysses

Dans In silico, présenté comme un roman, Christine décrit en fait des conversations dont elle avait été témoin lors de soirées mondaines très spéciales tenues chez les caciques de la politique des années 80. Elle était témoin de la haine que voue cette caste envers le peuple. Ne pensant pas qu’ils se hasarderaient à mettre en application l’agenda qu’ils avaient préparé :  dépopulation, vaccins, etc., elle s’était rendue compte que, des années plus tard, tout évoluait comme prévu. Décon­certée par ce qu’elle a, entre-temps, observée, et craignant d’être poursuivie et pourchasser à nouveau, elle a décidé de tout révéler sous forme de roman prémonitoire… Son intention est d’éveiller les consciences afin d’épargner à ses compatriotes d’être mis compléte­ment en esclavage…

Elle nous fait franchir, pas à pas, les portes d’un monde où s’imbri­quent le réel et l’imaginaire… Mais si vous êtes un peu perspicace, vous découvrirez qu’elle n’est pas si loin de la réalité d’aujourd’hui ! Rien de ce qu’elle avance n’est tout à fait le fruit du hasard ni ne relève de la pure science-fiction, bien que cela puisse y ressembler un peu…

Lisez entre les lignes… Lisez ses mots qui arrivent alors que l’on s’y attend le moins, ses mots qui parlent et peignent la vie, ses mots qui crient, pleurent et aiment aussi…

Des mots de guerre et de naissance, des mots d’amour et de tristesse. Des mots qui cassent et reconstruisent, ceux de l’ombre et du soleil. Ceux de la vie !

Dans deux mondes antinomiques, souvent obscurs, un homme et une femme vont se rencontrer, s’aimer et souffrir aussi…

« Le rêve est une seconde vie, disait Gérard de Nerval. Je n’ai jamais pu percer sans frémir ces portes d’ivoire et de corne qui nous séparent du monde invisible. » CDJ